Liberté, je t’aime trop

À ne jamais vouloir être mis dans la moindre case, Michel Cristo plonge dans le monde de la délinquance dès l’adolescence. Il nous transporte dans les années 1970 et 1980, où tout semblait possible.

Après avoir payé sa dette à la société, il a voulu témoigner de cette fuite en avant qui l’a conduit au pire. 

Avec une sincérité désarmante, l’auteur raconte sa vie de voyou dans plusieurs pays d’Europe, une vie que sa soif de liberté a dictée… mais à quel prix ?

Ouvrage imprimé à la Fabrique de Livres de Tours, en dos carré collé, de 124 pages.